890- Une Tisane Antivirale Pour Soigner le SIDA : Composition Tisane Antisida

Une Tisane Antivirale Pour Soigner le SIDA : Composition de la Tisane Antisida pour tuer le VIH. Découvrez ici la formule de guérison du sida

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Une Tisane Antivirale Pour Soigner le SIDA

Recherches Associées au Traitement Naturel du SIDA ou du VIH

Tisane Antivirale Pour Soigner le SIDA, Composition antivirale a base de plantes médicinales pour combattre le vih/sida, Traitement naturel du SIDA par les africains,

Détails d’une Tisane Antivirale Pour Soigner le SIDA : Composition Tisane Antisida

Ingrédients:

  • Momordica balsamina,
  • Aframomum melegueta,
  • Cyperus articulatus
  • Ficus iteophylla,
  • Tamarindus indica
  • Detarium mitracarpum
  • Jatropha rouge
  • Fagara

Préparation de la Tisane Antivirale Pour Soigner le SIDA :

on réduit en poudre fine  feuilles et racines des différentes plantes citées plus haut.

Mode d’Emploi de la Tisane Antivirale Pour Soigner le SIDA

On administre aux malades  du sida ou du vih les matins à jeun à raison de 3 cuillérées à café en une ou plusieurs prises en fonction de la phase de la maladie, de l’âge et du poids du sujet traité

Remarque sur la Tisane Antivirale Pour Soigner le SIDA

Le traitement est sans effet secondaire. Elle  tue le virus du VIH et soigne le SIDA. La tisane se  compose est  antivirales. Elle est à base d’extraits de plantes médicinales. On obtient  un remède virolyse, virostatique et viroextirpant destinés à combattre la maladie du Syndrome d’Immuno-Déficience Acquise (SIDA) et ses différentes variantes.  La tisane est efficace et met le virus hors d’état de nuire

Voici une tisane qui soigne le sida

Historique du VIH/SIDA

L’agent responsable de cette pandémie a été isolé depuis 1983 par le professeur Luc Montagnier de l’Institut Pasteur et identifié sous la dénomination de LAV (Lymphadenopathy Associated Virus). Le virus et ses diverses variantes ont fait l’objet du brevet OAPI n 08096 délivré le 31/08/1986 au nom de l’Institut Pasteur. On sait qu’un virus du même type que le LAV a été identifié aux USA et dénommé HTLVIII (sciences 1984 vol. 224 4648,497). Le brevet OAPI n 09043 délivré à CRUZ Joseph le 31/03/1991 est relatif à de nouvelles compositions antivirales à base d’extrait de la plante de Mimosa Pudica LINN à l’usage thérapeutique pour combattre la maladie du SIDA.

Comprendre le SIDA et Ses Manifestations

Le SIDA est une maladie infectieuse  virale qui frappe durement toute la planète et particulièrement le continent africain. Il a été constaté que le SIDA était souvent accompagné de syndromes lymphadénopathiques (atteintes biliaires, lésions pancréatiques, fièvre prolongée, dermatoses infectieuses, sarcome de Kaposi) qui dans leur stade final se manifestent par un effondrement des défenses immunitaires du sujet.

Recherches sur les Plantes Antivirales de Lutte contre le VIH

Les antirétroviraux naturels existent et combattent réellement le VIH. Ils empêchent la réplication du virus et boostent les défenses naturelles. En effet, des plantes existent et vous pouvez comptez sur la médecine naturelle pour mettre le VIH hors d’état de nuire.

Depuis plus d’une trentaine d’années qu’existe la pandémie, tout le monde s’est investie dans la lutte contre le VIH/SIDA. Ainsi, un espoir réel de guérison existe. De plus, De plus en plus, la Communauté Internationale prend conscience de la nécessité d’impliquer les guérisseurs dans la prévention du VIH, et de faire aussi appel à la médecine traditionnelle.

On sait que les assises de la Première Conférence Internationale sur les Médecines Traditionnelles et le VIH/SIDA tenues en mars 1999 à Dakar, ont montré le rôle que peuvent jouer les guérisseurs dans la prévention, la prise en charge des maladies opportunistes, et dans la recherche de solution thérapeutique de cette pandémie.

Recherches sur les Traitements Traditionnels contre le SIDA

Les travaux d’une ONG africaine pour la promotion des médecines traditionnelles (PROMETRA) relatifs à l’implication des guérisseurs dans le traitement du VIH/SIDA, ont été au centre de nombreuses conférences internationales scientifiques (conférence de Yokohama, Japon 1986 ; Washington DC USA 1996 ; 12une conférence internationale sur le VIH/SIDA, Genève 1998 ; Bénin 1999 ; Lusaka 1999 ; Durban, Juillet 2000 ; Cameroun 2000). Les résultats des recherches obtenus depuis 1989 par le Centre Expérimental des Médecines Traditionnelles situé à Fatick (Sénégal), crée par PROMETRA, ont porté essentiellement sur les plantes utilisées par les guérisseurs.

 
Le centre a réalisé de nombreuses recherches sur diverses maladies principalement celles considérées comme incurables par la médecine conventionnelle. Il faut préciser que si le traitement se fait par les plantes traditionnelles, les contrôles des malades se fait par les méthodes scientifiques des plus rigoureuses, les plus à la pointe des progrès actuels connus.



  D'autres informations sont chaque jour données sur les efforts de la communauté pour trouver soit un vaccin, soit un antiviral, avec souvent le concours de l'Organisation
Mondiale de la Santé ou d'autres partenaires tels que la Fondation Ford USA.



  L'approche conventionnelle des traitements dans l'infection par le VIH par l'utilisation des substances antivirales comme   l'azidothymidine    (AZT), le DDC, le 3TC, l'AZT/3C, l'indinavir permet de réduire la charge virale plasmatique au niveau le plus bas et le plus longtemps possible. Les résultats même s'ils sont positifs, restent limités. En moyenne   50%    des patients voient leur charge virale plasmatique chuter jusqu'à 50   copies/ml    après un traitement d'environ 12 mois. Mais dans   l'état    actuel des choses, les problèmes non encore résolus par l'utilisation des antirétroviraux sont toujours d'actualité, notamment l'impossibilité   d'une    éradication totale.

   La restauration immunitaire est insignifiante même lorsque le taux de lymphocytes CD4 a beaucoup augmenté, la permanence de la toxicité des   antirétroviraux      n'est    pas encore résolue.



  D'autres problèmes ne sont pas encore résolus par l'utilisation des   antirétroviraux    tel que le risque de développement précoce de résistance aux   antirétroviraux,    l'incertitude quant à la durée du maintien de l'efficacité des traitements. On doit également noter les contraintes liées à l'utilisation des   antirétroviraux    actuels, car elles imposent aux patients d'absorber chaque jour une vingtaine de médicaments et leur coût est très élevé par rapport au pouvoir d'achat des populations africaines qui sont les plus exposées à l'infection du   VIH/SIDA.   



  L'utilisation d'extraits de plantes médicinales permet de résoudre, dans le traitement des infections du VIH/SIDA, la plupart des problèmes ci-dessus.



  L'invention dénommée METRAFAIDS concerne plus particulièrement de nouvelles compositions antivirales à base d'extraits de plantes de Momordica balsamina, de
Aframomum melegueta, de Cyperus articulatus, de Ficus iteophylla, du Tamarindus indica.



  On sait que depuis longtemps, les hommes ont toujours utilisé les plantes comme médicaments, particulièrement en Afrique, en Amérique latine, en Asie ou les seuls problèmes non maîtrisés sont encore le dosage et l'analyse ethnomédicale.



  Sur les 5 plantes retenues dans l'invention, le laboratoire de biologie du CEMETRA de
Fatick au Sénégal, de la Délégation aux Affaires Scientifiques et Techniques au Sénégal et du Labcorp aux USA ont réalisé les études et dégagé pour chacune d'elle des résultats significatifs sur le traitement du   VIH/SIDA :      - étude botanique  - étude chimique  - étude pharmacologique  -étude clinique
I-ETUDES ET RESULTATS
Momordica balsamina
Botanique
Liane herbacée à tiges grêles rampantes ou grimpantes. Les fleurs sont axillaires ; les fruits sont ovoïdes orangés à maturité, à nombreuses épines molles non piquantes.



  Chimie
Les feuilles contiennent deux résines acides et une substance amère, la momordicine. Elles sont riches en vitamines C libres : 0,04 à 0,05 % avec ou sans carotène. On y trouve également de l'acide   aminobutyrique    qui freine l'évolution et rend statique le développement du virus.



  Pharmacologie
Les extraits de la plante entière donnent une action hypoglycémiante, anticancéreuse ; l'activité antibiotique des extraits de feuilles est avérée.



  Les protéines abortives   (momorcharines)    possèdent, in vitro et in vivo, des actions modulatrices sur le système immunitaire.



  Les momorcharines ont une action inhibitrice sur le virus de   l'immunodéficience    humaine.



  Aframomum melegueta
Botanique
Plantes rhizomateuses à tige dressée, atteignant 1 m à 1,50 m de   haut.,   
Belle fleur en épis situé sur un pédoncule sortant de terre ; fruits rouges.



  Chimie
Par distillation, on obtient des huiles essentielles contenant le caryophyllène, le kayène, le   B-pinène,    le cinéol, le géraniol, l'acétate de   géranyle    et le terpinéol.



  Les graines dénommées maniguette contiennent 0,30 % d'une essence jaunâtre à odeur agréable, aromatique ainsi qu'un principe amer très   âcre :    le paradol voisin du gingérol.



  Son action polarise l'action du   momorcharine    en accroissant l'évolution du milieu inhibant et neutralisant la prolifération virale.



  Pharmacologie
Les Aframomum sont des purgatifs ténicides et le décocté est utilisé pour les bains dans les cas d'oedèmes par carence. Elles ont des propriétés vermifuges à partir des racines. 



  Elles jouent un grand rôle dans le traitement des rhumatismes et des affections pulmonaires.



  Cyperus articulatus
Botanique
Herbe à souche vivace, rhizomateuse, tiges cylindriques, dressées atteignant 1,75m de haut et   8    mm de diamètre. Feuilles réduites à des graines appliquées contre la tige. Fleurs : ombrelles à pédoncules irrégulières.



  Chimie
L'analyse chimique a donné des sesquiterpènes et des alcools sesquiterpéniques à faible odeur. De la cypérénone sous forme de   dinitro-2,    4   phénylhydrazone    a été décelée et dénommée   isopatchoulène-4.    Elle permet d'extirper le virus VIH des différents tissus infectés en favorisant son élimination par les urines et les fécès.



  Ficus iteophylla
Botanique
Arbre moyen de   8    à 10 m de haut au tronc court et tordu. Cime très étalée, occasionnellement aplatie. Ecorce gris clair, lisse ou partiellement écailleuse. Les fruits sont des figues petites, pubescentes, par paires à l'aisselle des feuilles.



  Chimie et pharmacologie
Le macéré d'écorces est utilisé comme antidysentérique et   antirhumatismal.    Le décocté de racines est utilisé dans le traitement de la tuberculose et des troubles mentaux. C'est un anti-anémique et un fortifiant important.



  Tamarindus indica
Botanique
Grand arbre de 30 m de hauteur et un mètre de diamètre à grande cime étalée. Ecorce grise très crevassée et écailleuse. Fleurs jaunâtres en grappes instables. Floraison de Décembre à
Mai. Fruits droits ou légèrement aplatis courbes, cylindriques. La pulpe est bien foncée à maturité.



  Chimie
Le fruit contient de l'acide tartrique (8-18%), des sucres réducteurs (25-41%), de la pectine (2-3,5%), et des protéines   (2-3%). Il    joue un rôle excipient dans la composition du
METRAFAIDS et permet d'éliminer par les selles et les urines le VIH extirpé par les autres médicaments.



  Pharmacologie
Propriétés bactéricides, (pectine à 1%) et antifongique, laxative, régulateur du transit digestif et diurétique modéré.