Hépatite B : Traitement Naturel Contre Hépatite B
Ingrédients:
- poivre long
- racine de reglisse
- nauclea latifolia
- curcuma
- clou de girofle
- racine de neem
- écorce de cassia siamea
- racine de detarium microcarpum
- feuille de kinkéliba
Préparation
transformer tout en poudre
Mode d’emploi
Prendre une cuillerée à café de la poudre dans une tasse d’eau chaude comme du thé, 2 à 3 fois par jour pendant 3 mois
Prix du remède naturel contre hépatite b : 40 euros
En Savoir Plus Sur Hépatite B
Les types d’infection de l’Hépatite B
Comme toute infection, on distingue deux types : la forme aiguë et chronique. A l’inverse des maladies aiguës, les maladies chroniques persistent dans le temps et parfois à vie ou jusqu’à la vie.
Infection aiguë
C’est chez les personnes nouvellement infectées qui développent une forme aiguë, la période d’incubation moyenne (temps entre l’exposition et le début de la jaunisse) est de 90 jours. La probabilité de développer des symptômes à la suite d’une nouvelle infection dépend de l’âge.
Plus de 90% des infections périnatales (chez les nouveau né) sont asymptomatiques, tandis que les manifestations typiques sont notées dans 5 à 15% des jeunes enfants nouvellement infectés (âgés de 1 à 5 ans). Chez les enfants plus âgés, les adolescents et les adultes, ce pourcentage est compris entre 33 et 50%.
Les personnes atteintes d’hépatite B aiguë peuvent présenter des signes et symptômes tels que des nausées, des douleurs abdominales, des vomissements, de la fièvre, une jaunisse, urine foncée et une modification de la couleur des selles
Forme chronique
Chez 90% des personnes infectées à l’âge adulte, le système immunitaire combat avec succès l’infection pendant la phase aiguë. Il est éliminé du corps dans les 6 mois, le foie guérit complètement et la personne est immunisée pour le reste de sa vie.
Dans les 10% restants, le système immunitaire ne peut pas l’éliminer et il persiste au-delà de 6 mois, généralement pour le reste de la vie de la personne. Cet état persistant est connu sous le nom d’infection chronique par l’hépatite B. La probabilité que les personnes nouvellement infectées développent une forme chronique dépend de leur âge au moment de la survenue de cette pathologie. Plus la personne est jeune, plus il sera probable qu’elle développe une forme chronique. 90 % des nourrissons infectés, 25 à 50 % des enfants infectés entre 1 et 5 ans, et 6 à 10% des enfants plus âgés et des adultes développent une infection chronique.
Les dommages causés au foie par le virus de l’hépatite B progressent, en général, sans symptômes pendant quelques années (10-20 ans). Ce qui est le cas pour environ 20% des individus présentant une infection chronique.
Facteurs de risque
Pour connaître les facteurs de risques, il faut savoir comment le VHB est transmis. Quelle est la transmission du virus de l’hépatite B ? il est transmis par exposition percutanée (passage par la peau) ou par les muqueuses (les tissus tapissant les cavités du corps et qui prolongent la peau comme la muqueuse génitale, de la bouche et l’anus… ), par le sang infecté ou par l’intermédiaire d’autres liquides organiques.
Sa transmission a été observée avec de nombreuses formes de contact humain : périnatale (mère-enfant), ménage (non sexuel), sexuel, partage d’aiguilles. Les métiers en contact avec les liquides biologiques (sang, salive, sécrétions génitales) sont des métiers à risque pour les praticiens et les personnes recevant les soins.
Parce qu’il peut rester stable et infectieux sur des surfaces pendant au moins 7 jours, la transmission peut se produire indirectement via des surfaces contaminées et d’autres objets4.
La place du foie en naturopathie
Pour déterminer le rôle de la naturopathie dans l’accompagnement de ce type d’infection, il faut avant tout comprendre la place occupée par le foie (figure ci-après).
C’est à la fois un organe et une glande qui se trouve du côté droit et juste en dessous du diaphragme. Composé de 2 lobes, il fait environ 1,5 kilogramme. En tant que glande, il sécrète les sels biliaires (qui sont stockés dans la vésicule biliaire), nécessaires pour la dégradation et l’absorption des aliments liposolubles (qui ne sont pas solubles dans l’eau) par le système digestif (comme les vitamines A, E, D, K….).
Il est responsable de l’élimination des déchets corporels et des xénobiotiques (les médicaments et les produits chimiques). Les aliments absorbés par les intestins grêles passent par le foie pour être filtrés avant de joindre le corps. Avec l’aide d’autres organes, il participe en tout à environ 500 fonctions nécessaires au bon fonctionnement du corps. Il n’existe à ce jour aucun appareil artificiel capable de remplacer cet organe.
Hépatite B : quel traitement naturel
La naturopathie se base essentiellement sur l’éducation préventive et la participation active de la personne dans son bien-être. Trois éléments sont pris en compte : l’hygiène de vie (spécialement l’alimentation), l’activité sportive et la santé émotionnelle.
Le but de l’accompagnement naturopathique est :
- d’éviter l’infection (action préventive) ;
- en cas d’infection, de diminuer le stress oxydatif généré par la pathologie et l’inflammation du foie (action d’accompagnement). C’est valable pour la forme aiguë et chronique.
Le stress oxydatif est un état cellulaire dans lequel il y a une augmentation des radicaux libres. Ce sont des molécules qui provoquent la modification de la structure des matières génétiques, protéines et du fonctionnement cellulaires. Le stress oxydatif impacte la capacité de corps à l’auto-guérison et à affronter les infections.
Pourquoi privilégier un accompagnement naturopathique et un traitement naturel de l’hépatite B ?
Pourquoi un accompagnement naturopathique ?
L’importance de la naturopathie dans l’accompagnement lors d’une infection provient essentiellement du fait que les médicaments anti-VHB ont leurs limites.
En effet, l’interféron-alpha a une efficacité limitée et une incidence élevée d’effets indésirables. Alors que les analogues nucléosidiques sont des inhibiteurs très efficaces de l’ADN du virus. Cependant, l’utilisation à long terme de ces agents peut entraîner une résistance aux médicaments chez un nombre important de patients et n’entraîne pas la clairance du foie infecté.
Par conséquent, il existe un besoin évident de trouver des techniques qui peuvent accompagner le traitement actuel non naturel de l’hépatite B
Il ne faut pas oublier que les techniques et méthodes proposées ici ne remplacent ni les médicaments, ni l’avis de votre médecin traitant. L’accompagnement naturopathique de cette maladie nécessite un spécialiste.
L’hygiène de vie
Nous constatons que l’hygiène de vie est le premier élément qui favorise sa survenue. Le choix des partenaires sexuels, respecter les consignes d’hygiènes pour les personnes pratiquant des métiers à risque (les professionnels de la santé par exemple) et veiller à la propreté des outils (seringue, rasoir…) qui peuvent faire rentrer dans le corps d’une personne, non contaminée, des fluides corporels d’une autre personne contaminées par le VHB.
Outre un traitement naturel adapté pour le virus de l’hépatite B, sensibiliser les personnes sur l’importance de l’hygiène de vie est la première étape dans la démarche naturopathique.
L’alimentation
Le principe est de consommer avec modération les aliments qui peuvent causer l’augmentation du stress oxydatif. Parmi ces aliments nous trouverons l’alcool, les viandes rouges, les acides gras saturés, qui se trouvent dans une grande partie des plates pré-préparés. Une étude réalisée en 2010 a montré que la consommation de viande rouge et grasse augmente le risque de maladies chronique du foie. En revanche, ce risque diminue avec la consommation des viandes blanches6.
La modification de l’alimentation, en plus d’un traitement naturel adapté pour l’hépatite B, peuvent être intéressants.
Probiotiques
Impact du microbiote intestinal
Le microbiome, c’est l’écosystème de micro-organismes vivant dans le système digestif. Il présente environ 2 kg de poids du corps. Les études ont montré le rôle essentiel joué par les micro-organismes intestinaux dans l’homéostasie (l’équilibre de l’organisme), dans le développement des maladies auto-immunes, la dépression, le cancer du côlon, l’obésité, le diabète et de multiples autres problèmes de santé.
Ainsi, les changements du microbiote intestinal semblent jouer un rôle dans l’induction et la progression des maladies hépatiques chroniques
En parlant de microbiome intestinal, nous évoquons essentiellement 2 groupes de micro-organismes : les Firmicutes et les Bacteroidetes. La dysbiose (le déséquilibre de la flore), pour cette maladie, est observée par la présence de taches jaunes sur la langue indiquant la diminution des Bacteroidetes qui ont un rôle anti-inflammatoire
La supplémentation en probiotique, traitement naturel, semble donc intéressante pour rétablir l’équilibre dans le cadre du virus de l’hépatite B. Dans certaines études, la transplantation de microbiote fécal comme thérapie, pour les maladies et les complications associées à cette infection, a été étudiée9..
Supplémentation en acides aminés
Une supplémentation en acides aminés peut être un traitement naturel intéressant, en cas d’hépatite B.
Le foie est un site essentiel dans le métabolisme des protéines et la transformation des acides aminés. C’est pour cette raison que les transaminases, (enzymes présentes dans le foie utilisés dans le métabolisme des acides aminés), sont des marqueurs pouvant indiquer le bon fonctionnement hépatique. Ces enzymes sont l’Alanine-Amino-Transférase (ALAT) et l’Aspartate-Amino-Transférase (ASAT).
Plusieurs études ont montré l’efficacité des acides aminés dans l’accompagnement des problèmes de santé, principalement ceux concernant le système immunitaire et les infections virales.
La glutamine, acide aminé, est essentielle pour diminuer l’hyperpérmeabilité intestinale, influençant la capacité du système immunitaire à affronter les agressions extérieures. La supplémentation en lysine joue un rôle dans la diminution du développement des virus avec une enveloppe (comme c’est le cas pour l’herpès). Il a été aussi démontré que la lysine diminue l’absorption d’arginine (un autre acide aminé), essentielle dans la formation des enveloppes virales comme pour le VHB et l’herpès.
La supplémentation en acides aminés essentiels (valine, leucine et isoleucine) semble protéger le foie des complications de cette maladie. Une étude clinique récente a montré que la supplémentation à long terme par voie orale peut améliorer la fonction hépatique et réduire les complications majeures de la cirrhose, chez les patients atteints de maladies hépatiques avancées
La supplémentation en acides aminés doit être accompagnée par des spécialistes. Des taux plasmatiques de glutamine très élevés peuvent parfois être un marqueur d’une insuffisance hépatique aiguë et chronique. C’est ce qui est d’ailleurs constaté chez des personnes dans une situation avancée de l’infection12.
Relaxation
En cas d’hépatite B, outre un traitement naturel adapté, la pratique de la relaxation peut être également recommandée.
Les patients, en général, ne sont pas prêts à entendre parler d’une forme chronique avec une menace sur la qualité de leur vie. Sa détection conduit, chez certaines personnes, à la dépression, à l’anxiété, à la peur, aux inquiétudes quant à la stigmatisation en particulier dans les trois premiers mois suivant le diagnostic
Ces éléments influencent la capacité du système immunitaire à affronter l’infection de deux manières. Le stress provoqué par cette situation épuise les ressources du corps (comme le zinc) essentielles au fonctionnement du système immunitaire. Il augmente la quantité de radicaux libres (produits naturellement par les activités du corps).
Le corps est capable d’éliminer ces molécules. Cependant, sous stress, il produit davantage de radicaux libres14. A partir d’un certain seuil, le corps se trouve dans l’incapacité d’éliminer ces molécules. Leur accumulation augmente le stress oxydatif du corps, provoquant des altérations permanentes dans les matières génétiques et augmentant le risque des complications lors d’une infection au VHB.
Les techniques de relaxation dans ce cas sont essentielles pour diminuer le stress, l’anxiété et diminuer l’état oxydatif. Ces techniques peuvent être aussi accompagnées par des fleurs de Bach comme par exemple : Le Noyer (lié au changement), La Moutarde (liée aux idées noires engendrées par cette situation).
Oméga-3
Les omégas-3 sont un type de molécules lipidiques (un groupe des acides gras), qui se trouve essentiellement dans les produits de la mer (comme les poissons gras), et dans certaines huiles végétales (comme l’huile de lin). Ils jouent un rôle essentiel dans la modulation de l’activité du système immunitaire.
Ils peuvent diminuer l’activité de certaines cellules du système immunitaire (comme avec les cellules T), ou encore augmenter l’activité d’autres cellules, comme les phagocytoses. Ce sont la capacité à « avaler » les pathogènes. C’est une activité des macrophages et des neutrophiles.
Prenons l’exemple des macrophages : un type de cellules du système immunitaire qui patrouillent les organes à la recherche des infections. Elles font partie des premières réponses immunitaires face aux infections.
Ces cellules jouent un rôle important dans l’immunité anti-VHB. Elles jouent aussi un rôle dans :
- la reconnaissance du virus ;
- la production de cytokines, pour inhiber directement la réplication virale ;
- le recrutement et l’activation d’autres cellules immunitaires impliquées dans la clairance virale ;
- la progression de le maladie.
Elle est furtive ; elle se «cache» au début de son cycle de vie pour échapper aux défenses des macrophages, provoquant des infections persistantes
Théoriquement, une supplémentation en oméga-3, traitement naturel, peut améliorer la capacité du corps à lutter contre l’hépatite B. Les études ont montré que la relation entre oméga-3 et le système immunitaire est complexe. Même si la supplémentation en oméga-3 semble importante, d’autres études sont nécessaires16.
Pour accompagner certaines maladies du foie, les études proposent 0,8 à 6 g par jour d’oméga-3 pendant quelques mois jusqu’à un an
Vitamines D et E
La Vitamine D fait partie des éléments essentiels pour le bon fonctionnement du système immunitaire. Un faible taux de vitamine D est fréquent chez les patients infectés par cette pathologie. Plusieurs études montrent une association inversée entre le taux sérique de vitamine D et la charge virale, plus particulièrement, pendant les phases de complications
La supplémentation en vitamine D a montré une certaine efficacité pour diminuer les marqueurs hépatiques de fibrose dans le cas de l’hépatite C. Dans le cas du VHB, elle ne joue pas seulement un rôle dans la régulation des réactions immunitaires mais également dans la diminution des dommages causés par cette pathologie
La vitamine D est donc un traitement naturel intéressant, en cas d’hépatite B.
Une supplémentation (dans le cas de l’hépatite C) de 60 000 à 100 000 IU en vitamine D par semaine (selon l’état de carence en vitamine D), pendant 6 semaines
La vitamine E est l’antioxydant le plus utilisé dans le cadre des supplémentations alimentaires. Il joue un rôle important dans la protection de la membrane cellulaire contre le stress oxydatif. Plusieurs études ont montré son efficacité sur des lignés cellulaires. Les études cliniques sur l’utilisation de la vitamine E dans le traitement de cette pathologie restent limitées mais prometteuses
Une supplémentation de 300 mg 2 fois/jour en vitamine E pendant 3 mois
Comment Guérit-on de l’Hépatite B par la Phytothérapie
L’utilisation des plantes dans le cadre de la phytothérapie se base essentiellement sur les vertus de l’extrait de la plante.
Ces extraits contiennent :
- des alcaloïdes, des caroténoïdes, des saponines, des flavonoïdes (isoflavones, flavonones, anthocyanes, catéchines, flavones, isocatéchines et quercétine) ;
- des terpénoïdes et des polyphénols (acide gallique et tanins) ;
- des vitamines (A, C, E, K), des minéraux (manganèse, sélénium, cuivre, chrome, zinc et iode), qui ont des effets antiviraux et des effets antioxydants diminuant les inflammations.
Comment Guérit-on de l’Hépatite B? Le curcuma
Curcuma longa en plus de son activité anti-oxydante, peut être aussi un traitement naturel intéressant contre l’hépatite B25.
Comment Guérit-on de l’Hépatite B? Chardon-Marie
Silybum marianum est utilisé en Europe en tant qu’hépato-protecteur depuis plus de 2000 ans. Ses vertus sont liées à ses composants qui ont des activités antioxydantes et anti-inflammatoires, stimulantes de la régénération hépatique, anti-fibrotiques, immunomodulateurs, antivirales et anticancéreuses26.
C’est une plante très bien tolérée avec peu ou pas d’effets secondaires. Utilisé souvent en forme de tisane à 1-3 tasses par jour.
Comment Guérit-on de l’Hépatite B par La réglisse
Glycyrrhiza glabra contient de l’acide glycyrrhizique, qui est un glycoside triterpénique. Il a des vertus anti-inflammatoires, hypoglycémiantes, antivirales et hépatoprotectrices. Les études sur des lignés cellulaires ont montré son efficacité, comme traitement naturel, contre le virus de l’hépatite B.
Ses propriétés hépatoprotectrices ont été prouvées dans les études cliniques27.
Poivre long
Fructus Piperis Longi est une herbe utilisée dans la médecine chinoise et la médecine ayurvédique. Les études ont montré sa capacité à moduler la fonction hépatique. Il réduit les activités des transaminases qui sont les causes principales du développement de la cirrhose du foie28.
Basilique sacré
Ocimum sanctum est une plante connue pour ses effets antioxydants. Il est utilisé dans la cuisine thaïlandaise. Ses effets hépatoprotecteurs ont été démontrés sur les animaux, plus particulièrement quand il est combiné avec le Chardon Marie.
Café
Outre un traitement naturel adapté, la consommation de certains aliments ou boissons peuvent participer à la protection de l’organisme contre les effets de l’hépatite B.
C’est la boisson la plus consommée mondialement. C’est une source riche en antioxydants. Consommé à plus de 2 tasses/ jour, il permet d’améliorer les fonctions hépatiques, de diminuer le risque de cirrhose hépatique et le cancer du foie
Fruits
Certains fruits, comme les pommes et les agrumes, sont connus pour leurs effets antioxydants et hépatoprotecteurs. La consommation de ces fruits dans une alimentation équilibrée constitue une bonne démarche d’accompagnement en cas d’infection.
Comment Guérit-on de l’Hépatite B par Les huiles essentielles
Dans étude, réalisée en France en 2005, l’efficacité des huiles essentielles en monothérapie ou combinées avec les traitements allopathiques, pour le traitement naturel de l’hépatite B et C, ont été analysées.
Parmi les huiles essentielles étudiées nous trouverons celles avec des vertus, anti-infectieuses, antivirales, anti-inflammatoires, hépato protectrices, comme le ravintsara (Cinnamomum camphora), le carrot (Daucus carota), le thym ct thujanol (Thymus vulgaris ct thujanol), le laurel (Laurus nobilis), l’helichrysum (Helichrysum italicum), le niaouli (Melaleuca quinquenervia).
1-3 gouttes/ jour par voie orale ou cutanée 3 semaines/ mois pendant 6 mois
Coenzyme Q (Q10)
L’ubiquinone est un nutriment produit par le corps en petite quantité. Il est essentiel dans la production d’énergie au niveau cellulaire, plus particulièrement dans les muscles. Il a également une activité antioxydante. Il joue un rôle important dans le fonctionnement des muscles cardiaques.
La supplémentation en Q10 a montré une efficacité dans la diminution de la tension dans le cas d’hypertensions. Les supplémentations en Q10 post-opératoire dans le cas du cancer du foie ’avère très efficace pour diminuer l’inflammation
300 mg/jour pendant 12 semaines
Questions fréquentes pour Hépatite B
Qu’est-ce que l’hépatite B ?
L’hépatite B est une infection causée par un virus. Elle s’attaque au foie.
Comment traiter naturellement l’hépatite B ?
– Utilisation de probiotiques
– Supplémentation en acides aminés, omégas-3, vitamines D et E, en resvératrol et en coenzyme Q10
– Usage de plantes et d’huiles essentielles
Quelles sont les autres recommandations ?
– Choix des partenaires sexuels
– Métiers à risque : respect des règles d’hygiène
– Consommer avec modération les viandes rouges, les acides gras saturés et l’alcool
– Pratique de la relaxation