Racine de Toumba : Nom Scientifique et bienfaits

Racine de Toumba : Nom Scientifique et bienfaits. Découvrez ici le nom scientifique de la racine de toumba et comment en faire usage des racines de cette plante

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Racine de Toumba et ses bienfaits

Voici ce qu’on sait — ou ce qu’on rapporte traditionnellement — au sujet des bienfaits attribués à la racine de toumba. Attention — ces vertus sont issues de traditions ou de sources non-scientifiques ; les preuves solides manquent, et il vaut mieux rester prudent.

✅ Vertus traditionnellement attribuées

Selon certaines sources d’herboristerie ou de médecine traditionnelle, la racine de toumba serait utilisée pour tout un panel de maux et de bienfaits :

• Soin des troubles digestifs : constipation, stimulation de la digestion et de l’appétit, soutien de la fonction biliaire.

• Effet tonique et stimulant général : paraît favoriser l’énergie, améliorer la circulation sanguine, réduire la fatigue.

• Propriétés cutanées et esthétiques : soin des peaux irritées, des démangeaisons, aide à la cicatrisation, traitement possible de certaines affections cutanées

• Utilisations « traditionnelles variées » : certains l’utilisent contre la fièvre, les maux de dents, les plaies, les vers intestinaux ou parasites, voire comme antipaludique.

• Potentiel « détoxifiant » (selon les sources) : élimination des toxines, soutien des reins, purification de l’organisme. Pharmabio Santé

⚠️ Ce qu’il faut savoir — limites et précautions

• Les sources mentionnant ces bienfaits sont souvent issues de traditions populaires ou de sites d’herboristerie, sans études cliniques rigoureuses publiées. Même les articles récents sur la « racine de toumba » avertissent que les études scientifiques sont limitées.

• L’usage peut comporter des risques : certaines personnes pourraient ressentir des troubles digestifs (nausées, vomissements), ou des réactions cutanées si appliquée sur la peau.

• Certaines contre-indications sont souvent citées : femmes enceintes ou allaitantes, personnes ayant des troubles de la coagulation ou prenant des anticoagulants.

🔎 Pourquoi c’est difficile à valider scientifiquement

• Je n’ai pas trouvé d’études scientifiques récentes publiées dans des revues à comité de lecture qui valident rigoureusement les bienfaits listés pour la racine de toumba (digestion, peau, « détox », etc.).

• Beaucoup des « bienfaits » proviennent de traditions ou de témoignages — qui peuvent varier selon l’origine, la préparation, la qualité de la plante, etc.

• L’absence de standardisation des doses, des modes de préparation (infusion, décoction, cataplasme…) complexifie toute évaluation fiable.

🎯 Mon conseil (si vous y pensez)

Si vous envisagez d’utiliser la racine de toumba (tisane, décoction, usage externe…) :

• Consultez un professionnel de santé — surtout si vous êtes enceinte, avez un traitement en cours, ou des fragilités particulières.

• Commencez par de faibles doses, et observez la tolérance de votre corps.

• Ne la considérez pas comme un remède miracle : une bonne hygiène de vie (alimentation, sommeil, activité physique) reste la base.

• Vérifiez la provenance et la qualité de la plante — plantes mal identifiées ou mal préparées peuvent être inefficaces, voire dangereuses.

Toumba Nom Scientifique : Momordica Charancia

La margose

Et voilà mon autre découverte de ce samedi: un légume totalement inconnu pour moi:

La margose ou margoze

La margose est une liane des régions tropicales de l’Asie, d’Amérique du Sud, de la famille des cucurbitacées.

C’est une plante annuelle rampante ou grimpante qui peut atteindre 2 mètres de hauteur, avec de grandes feuilles vertes jaunâtres dentelées et des fleurs jaunes à la fois mâles et femelles .

Le fruit vert clair a une forme oblongue ressemblant à de gros cornichons de 20 à 30 cm de long avec une surface pleine de petites pustules.

Au marché, il est vendu encore vert, mais si on le laisse mûrir, il devient jaune orange vif, mais également plus amer. La chair est blanche. Quand le fruit est bien mûr, il s’ouvre en plusieurs morceaux qui laissent apparaître des graines recouvertes d’une pâte rouge vif.

La margose a de nombreuses propriétés médicinales. Elle aide à combattre les infections microbiennes, virales et parasitaires et mais surtout contribue à faire baisser le taux de glucose sanguin chez les diabétiques. Les graines sont utilisées comme vermifuge, les feuilles en infusion comme antidiarrhétique; en infusion les feuilles et les racines auraient un pouvoir aphrodisiaque

Dans le sud de la Chine, les graines de fournissent une huile à brûler et sont également utilisés en médecine. Les racines servent de savon.

Dans la cuisine chinoise, la margose est cuite à la vapeur, ajoutée aux potages chinois ou insérée dans un plat traditionnel, le porc au melon amer, dont les ingrédients principaux sont du porc, des oignons, du gingembre, de la sauce aux haricots noirs.

Elle est également présente au Japon, dans la cuisine d’Okinawa, sous le nom de goya fréquemment préparée en chanpuru : sauté à la poêle avec du tofu et de la viande.

Dans la cuisine réunionnaise ou mauricienne elle se consomme crue en rougail, cuite en carry ou dans les salades pimentées. Pour enlever l’amertume du fruit, il est conseillé soit de la faire dégorger 10 mn dans du sel, soit de l’ébouillanter 3 voir 4 fois dans de l’eau salée.

 

Pour ma part c’est ce que j’ai fait, puis je l’ai fait revenir dans de l’huile d’olive avec un mélange de gingembre, ail et oignons pilés, , auquel j’ai rajouté des tomates et du curcuma. J’ai laissé mijoté 20 mn. Malgré cela, quand j’ai goûté c’était encore sacrément amère !!!!! Du coup j’ai remis à cuire avec du sucre et une bonne dose de vinaigre balsamique. L’amertume est encore présente, trop à mon goût, mais avec du poisson ou de la viande froide, çà peut aller. Mon zhom aime bien, moi pas !!

Par contre je trouve le fruit très beau. Dommage que je ne sache pas comment le conserver, car je l’aurai bien transformé en sculpture ou en mobile avec des graines. Si vous connaissez une solution je suis preneuse. Peut être en le vernissant ou en le badigeonnant de résine? Vous en pensez quoi???

Plantes les plus communes

1. Riz asiatique

Le riz asiatique est une plante fortement cultivée qui est une source importante de nourriture dans de nombreux pays du monde, surtout en Asie. C’est un ingrédient essentiel dans beaucoup de plats, gâteaux, ainsi que certaines boissons alcoolisées comme le saké. Le riz asiatique est semi-aquatique, et peut supporter des inondations ou des submersions momentanées.

2. Palmier à huile

Le palmier à huile mesure 20 à 25 m de haut, mais dans les palmeraies de culture les elaeis ne dépassent pas 15 mètres. Son « faux-tronc » est le stipe caractéristique des palmiers, cylindrique, vertical, non ramifié et de diamètre constant. Les feuilles, pennées, mesurent de 5 à 7 m de long, à pétiole très robuste et épineux. 

3. Caféier robusta

Le « robusta » (Coffea canephora) est originaire d’Afrique, où il existe à l’état spontané de l’Ouganda à la Guinée. Il nécessite moins d’entretien que le Coffea arabica et est donc moins cher à produire. Il contient aussi plus de caféine que l’arabica : de 1,7 % à 4 %, contre 0,8 % à 1,4 %.

4. Carapa

Carapa est un grand arbre tropical avec un tronc épais et renforcé et de grandes feuilles composées. Il se distingue par ses fruits ligneux qui s’ouvrent pour révéler des graines riches en huile, utilisées à des fins médicinales et cosmétiques. Sa stature robuste lui permet de prospérer dans les forêts denses, ses larges feuilles captant la lumière du soleil et ses racines profondes s’ancrant dans les sols riches en nutriments.

5. Centrosème pubescent

Centrosème pubescent est une plante herbacée vivace pouvant atteindre une hauteur de 17,5 po. Le système racinaire peut atteindre jusqu’à 30 cm de profondeur, souvent en association avec le Rhizobium, une bactérie fixatrice d’azote. Les tiges poussent et se ramifient rapidement, produisant une masse dense de branches et de feuilles sur le sol. Les feuilles sont trifoliées, avec des folioles elliptiques d’environ 1,6 po × 1,4 po, vert foncé et glabres dessus, mais blanchâtres et densément tomenteuses dessous. Les fleurs sont généralement violet pâle avec des nervures violet foncé, nées dans les racèmes axillaires. Le fruit est une longue et plate gousse brun foncé de 3,0 à 5,9 cm de long contenant jusqu’à 20 graines. Les graines sont sphériques, mesurent environ 0,16 po de diamètre et sont brun foncé à maturité.

6. Hoffe

L’hoffe est une plante affectionnant les régions chaudes et humides du globe (dont les DROM-COM). Sa dissémination est due à une introduction volontaire, à des fins de culture. En effet la plante est dotée de bulbilles aériennes comestibles. Il est toutefois primordial de les cuire, afin d’en détruire les alcaloïdes toxiques.

7. Senna hirsuta

Les senna hirsuta sont des plantes buissonnantes qui ne fixent pas d’azote sur leurs racines comme les autres légumineuses. Par leur nectar peu abondant, elles attirent les fourmis les défendant contre les herbivores. Les cendres des brindilles brûlées de senna hirsuta peuvent servir de revêtement intérieur permettant de conserver le lait dans des gourdes de stockage pendant plus d’un an!

8. Rauvolfia vomitoria

Rauvolfia vomitoria est un arbuste ou un petit arbre tropical qui pousse dans les sous-bois des forêts tropicales africaines. Il se caractérise par ses feuilles brillantes vert foncé et ses fleurs tubulaires blanches qui se transforment en baies noir violacé. Rauvolfia vomitoria Les racines et l’écorce de la plante contiennent des alcaloïdes qui ont des propriétés médicinales, ce qui explique son rôle dans la médecine traditionnelle et moderne. L’adaptabilité de la plante à l’ombre partielle et son utilisation dans l’aménagement paysager la rendent également digne d’intérêt.

9. Caladium

Le caladium est une plante vivace très appréciée pour les couleurs de son feuillage. Il nécessite pour sa croissance (particulièrement rapide) la présence de lumière sans être directement exposé au soleil. Cependant, il est impératif de faire preuve de prudence en raison de la toxicité de cette plante. La sève du caladium serait responsable d’irritation de peau à son contact.

10. Teck du congo

Teck du congo est un arbre tropical de grande taille, réputé pour la solidité et la durabilité de son bois. Il s’élève majestueusement, s’étirant souvent jusqu’à 50 mètres, avec un tronc clair et droit. Ses larges feuilles et ses petites fleurs de couleur crème prospèrent dans les forêts tropicales denses. Ses racines en contrefort l’ancrent profondément, reflétant l’adaptation de teck du congo à son habitat naturel humide et stable.

11. Justicia flava

Les justicia flava sont des plantes à la floraison spectaculaire qui s’épanouissent très bien en intérieur, ou dans un jardin sous un climat doux. Elles sont besoin d’un bon ensoleillement et de chaleur mais craignent le vent et le froid. C’est pour cette raison qu’on les placent idéalement sur une terrasse, un balcon ou en intérieur.

12. Setaria megaphylla

Les setaria megaphylla sont en majorité de mauvaises herbes des cultures et des plantes envahissantes. Il est en effet vraiment très difficile de s’en débarrasser. Cependant, certaines espèces de setaria megaphylla sont cultivées pour servir d’alimentation aux animaux d’élevage, et d’autres comme plantes ornementales.

13. Arbre à kapok

L’arbre à kapok possède un très grand tronc couvert d’épines, pouvant facilement atteindre les 40 m de hauteur. Sa floraison précoce apparaît dès la fin de l’hiver et sa pollinisation est effectuée par les chauves-souris. Il produit des gousses remplies de fibres cotonneuses appelées kapok, autrefois très utilisées pour le rembourrage mais aujourd’hui supplantées par des fibres synthétiques.

14. Graine en bas feuille

Graine en bas feuille est une herbe qui a une façon fascinante de répandre ses graines, ce qui a inspiré son nom. Lorsqu’il est mûr, le fruit de la plante éclate de manière explosive et ses graines sont projetées à une certaine distance de la plante mère. C’est une mauvaise herbe qui produit des fleurs et des fruits tout au long de l’année.