Tisane 811: Traitement Naturel Hépatite Virale ( A, B, C et D)

50.00

9997 en stock

Description

Traitement Naturel Hépatite Virale : remède hépatite b, remède hépatite c et remède hépatite d. Voici les plantes qui éliminent les virus de l’hépatite

Voici nos contacts pour nous joindre

Traitement Naturel Hépatite Virale ( A, B, C et D)

Quelle est la définition d’une hépatite

Une hépatite est une inflammation du foie causée d’origine diverse ( substances toxiques,   virus, médicaments). Une inflammation du foie à donc plusieurs causes. Cependant, les cas fréquents sont associés à un virus

A ce jour, 5 virus provoquent une infection virale du foie et une inflammation du foie. Il s’agit des  virus, désignés par les lettres A, B, C, D, et E.

Mode de transmission des hépatites virales

Les virus A et E se transmettre par les aliments souillés, et les virus B et C) par le sang, le sperme, le lait maternel, les objets souillés, les fluides

Processus d’action des virus

Les virus entrent dans l’organisme et atteignent le foie qui représente leur cible. En effet, ils pénètrent dans les cellules du foie dites hépatocytes, et s’y multiplient. Mais, le système immunitaire qui assure nos défenses détruit les cellules infectées. La destruction des cellules infectées provoque l’inflammation du foie. On parle alors d’hépatite virale du foie

Découvre la tisane qui guérit l’hépatite b

Manifestations des hépatites virales : cas général

Des symptômes caractéristiques de l’inflammation aiguë du foie sont  :

  • jaunissement de la peau et des yeux (jaunisse ou ictère),
  • urines foncées,
  • selles décolorées,
  • constipation
  • fatigue extrême,
  • nausées,
  • vomissements
  • douleurs abdominales.

Mais, les complications graves peuvent apparaitre comme cirrhose et cancer du foie.

Lire aussi cet article pour bien comprendre le phénomène des hépatites virales

Hépatite B: Symptômes et Traitement

Comment définir une hépatite b?

L’hépatite b est une inflammation du foie causée par le virus de l’hépatite b. C’est un virus à évolution lente. On peut vivre avec le VHB sans développer l’hépatite b et sans en mourir. Cependant. Mais, une surveillance médicale s’impose.

Prévalence de l’hépatite b

L’hépatite b touche plus de 2 milliards de personnes et plus de 254 millions de personnes sont des porteuses chroniques. Les porteurs chroniques sont exposés à un risque élevé de décès par cirrhose du foie ou cancer du foie. L’hépatite b tue environ 4,1 millions de malades  chaque année. En cas d’infection, la période d’incubation de l’exposition au virus à l’apparition de la jaunisse varie de 45 à 180 jours, avec une moyenne située entre 60 et 90 jours. Après la maladie disparait ou passe à la chronicité

Symptômes de l’hépatite b

L’hépatite B aiguë est souvent asymptomatique. Mais , elle provoque parfois des symptômes d’une grippe (perte d’appétit et troubles digestifs, nausées, vomissements, fatigue, fièvre). Suivant l’âge lors de l’infection par le VHB , les personnes infectée peuvent présenter les symptômes qui caractérisent une inflammation aiguë du foie (jaunisse ou ictère, urines foncées, selles décolorées).

Manifestations de l’hépatite b chronique

La forme chronique de maladie semble silencieuse mais certaines fatigues peuvent se faire sentir. Toutes les personnes infectés ne développent pas d’infection chronique. Le foie présente des signes d’inflammation. Ainsi, beaucoup portent le virus de l’hépatite b , le transmettent sans s’en rendre compte. Le risque de la forme chronique est inversement corrélé à l’âge lors de l’infection : 80 à 90% pour les enfants infectés à la naissance, 20 à 30% pour les personnes infectés pendant l’enfance et moins de 5% pour les personnes infectés à l’âge adulte. .

Epidémiologie

Les infections chroniques par le VHB touchent plus de 8% de la population adulte dans les (en Afrique subsaharienne, dans une grande partie de l’Asie et dans le Pacifique). Dans ces zones, le cancer du foie causé par l’hépatite B figure parmi les trois premières causes de décès par cancer chez l’homme. L’Amazonie et le sud de l’Europe orientale et centrale sont également très touchés. Au Moyen-Orient et dans le sous-continent indien, les porteurs chroniques représentent 3% environ de la population. L’infection est moins courante en Europe occidentale et en Amérique du Nord, où les porteurs chroniques représentent moins de 1-2% de la population. En France, on estime qu’environ 300 000 personnes seraient des porteurs chroniques du virus de l’hépatite B (VHB), dont 9% seraient également co-infectées par le VIH.

Transmission

Le virus de l’hépatite B se transmet par tous les liquides et sécrétions biologiques, le plus souvent par le sang et par contact sexuel. L’hépatite B est considérée comme une maladie infectieuse extrêmement contagieuse : le virus de l’hépatite B est 50 à 100 fois plus infectieux que celui du SIDA. Les principales voies de transmission sont la transmission de la mère à l’enfant pendant l’accouchement, le contact étroit avec une personne infectée, les contacts sexuels, les injections (toxicomanie) et les transfusions à risques. Statistiquement dans le monde, les modes de transmission les plus fréquents sont de la mère à l’enfant et entre enfants d’une même famille.

Dans de nombreux pays ayant des ressources limités, la quasi totalité des enfants sont infectés par le virus. Le virus ne peut être transmis ni par l’eau ou les aliments contaminés, ni par simple contact sur les lieux de travail.

Traitement Médical hépatite b

Il n’existe pas de traitement spécifique permettant de traiter une hépatite aiguë pour améliorer les chances de guérison. L’efficacité des produits dits hépatoprotecteurs (protégeant le foie) n’est pas démontrée. La personne infectée doit attendre que le système de défense de son organisme vienne naturellement à bout des virus. Aussi longtemps que la guérison n’est pas intervenue, les liquides et sécrétions naturelles du corps – sang, sperme, sécrétions vaginales, salive – restent contagieux. Une fois l’hépatite guérie, le foie retrouve un état normal et le patient est alors protégé toute sa vie contre cette maladie sauf si des médicaments immunosuppressifs sont utilisés.

Médicament pour hépatite b

L’infection chronique par le VHB est traitée chez les personnes à haut risque de maladies chronique du foie par des médicaments anti-viraux spécifiques comme le Tenofovir ou l’Entecavir.  Le coût de ces traitements a récemment baissé, en particulier dans les pays ayant des ressources limitées, grâce à la disponibilité de médicaments génériques. Cependant, en raison de l’accès limité au dépistage du VHB et à l’évaluation clinique pour la détermination des stades de la maladie du foie, de nombreuses personnes dans les pays ayant des ressources limitées vivent avec une infection chronique par le VHB sans le savoir et ne bénéficient pas de la thérapie antivirale.

Efficacité des médicaments contre hépatite b

En outre, ces médicaments peuvent réprimer la réplication virale, mais ne peuvent pas guérir l’infection. Par conséquent, la plupart des personnes qui ont commencé un traitement anti-VHB doivent le poursuivre à vie. Le développement de médicaments pouvant guérir l’infection est hautement justifié. Une transplantation du foie peut être effectuée en cas de cirrhose dans les pays riches en ressources. La chirurgie et la chimiothérapie peuvent améliorer le pronostic pour les personnes ayant développé un cancer du foie dans les pays riches en ressources. Dans les pays à faible revenu, l’accès à ces traitements est très limité, et même les soins palliatifs ne sont pas fournis de manière adéquate.

Le vaccin

La vaccination contre l’hépatite B reste la seule et unique façon de se protéger contre l’hépatite b. C’est un vaccin anti-hépatite B très efficace, mis au point à l’Institut Pasteur (GenHevac B). Mais , n’oublier pas les rappels. En effet, trois injections de ce vaccin confèrent à 98%  sont nécessaires. Une première injection et deux rappels

Hépatite C: Symptômes et Traitement

Le virus de l’hépatite C (VHC) a été identifié en 1989 comme l’agent majeur des hépatites post-transfusionnelles antérieurement désignées sous le nom « d’hépatites non-A, non-B ».

Le VHC est classé dans un genre à part (hepacivirus) au sein de la grande famille des Flaviviridae, qui comprend également de nombreux autres virus importants sur le plan médical ou vétérinaire, comme par exemple le virus de la fièvre jaune, celui de la dengue, du Nil occidental (genre flavivirus), ou encore le virus de la diarrhée bovine (genre pestivirus). L’homme et le chimpanzé sont apparemment les seules espèces sensibles à l’infection par le virus de l’hépatite C.

Lors de la réplication du génome viral, des erreurs sont fréquentes et conduisent à la circulation d’un grand nombre d’espèces moléculaires virales dans la population humaine. On regroupe les variants viraux identifiés à ce jour en 7 génotypes qui présentent des susceptibilités variables aux traitements.

Symptômes

L’hépatite C aiguë survient après une période d’incubation moyenne de 6 à 10 semaines. Elle est majoritairement asymptomatique. Lorsqu’elle est symptomatique, les symptômes sont semblables à ceux observés au cours d’autres hépatites virales (fatigue, nausées, douleurs suivies par l’apparition d’urines foncées et d’un ictère). A ce stade, l’état général du foie, que l’on peut estimer en mesurant la concentration des transaminases dans le sang, est peu affecté. Dans de rares cas, l’infection par le VHC peut déclencher un dysfonctionnement grave du foie (hépatite fulminante).

La guérison est affirmée par l’absence de détection du virus dans le sang au-delà de 6 mois après l’infection aiguë et la présence d’anticorps anti-VHC. Il est admis que seuls 15 à 45% des hépatites C aiguës, symptomatiques ou non, vont évoluer vers une guérison, alors que 55 à 85% des patients infectés vont développer une infection chronique. Celle-ci peut conduire à une dégradation progressive du foie, conduisant à une cirrhose. En Europe et en Amérique du Nord, le risque d’une telle évolution est évalué à 15-30% dans les 20 ans après l’infection.

Trois facteurs principaux participent au risque de cirrhose : la durée de l’infection virale chronique, l’âge au moment de la contamination, et l’association d’une consommation importante d’alcool. A partir du stade de cirrhose du foie, il existe un risque important de progression vers un carcinome hépatocellulaire, avec un taux de 1 à 4% par an. L’état de cirrhose liée à l’hépatite C représente une indication majeure de transplantation hépatique.

Epidémiologie

Les données épidémiologiques actuelles permettent d’évaluer à 71 millions le nombre de porteurs chroniques du virus de l’hépatite C dans le monde, avec une séroprévalence moyenne d’environ 1.0 %. Cette prévalence est variable selon les pays : très faible en Europe du Nord, plus élevée en Asie du Sud-est et en Afrique, atteignant plus de 20% en Egypte. L’Organisation Mondiale de la Santé évalue à près de 399 000 le nombre des décès annuels consécutifs aux infections par le virus de l’hépatite C.

En France, on estime à environ 134 000 le nombre de personnes vivant avec des infections chroniques par le VHC, et à 4 000 le nombre de nouveaux cas d’infection par an. On estime que 24% des patients infectés par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) sont également infectés par le VHC. L’évolution silencieuse de la maladie et la fréquence élevée d’établissement d’infections chroniques expliquent l’existence d’un grand réservoir de sujets infectés.

Transmission

Le virus de l’hépatite C se transmet principalement par voie sanguine (transfusion, utilisation de drogues par voie intraveineuse, transplantation d’organes).

La transmission par voie transfusionnelle a été la plus répandue avant l’introduction du dépistage systématique des dons du sang en 1991 dans les pays riches en ressources, où elle est désormais maîtrisée. On estime que les injections à risque (notamment de drogues), pratiquées avec du matériel non stérile, ou la transfusion de produits sanguins contaminés sont chaque année à l’origine de 2 millions de nouvelles infections par le virus de l’hépatite C dans le monde. Le risque de transmission materno-fœtal du VHC est de l’ordre de 5% si le VHC est détectable dans le sang de la mère au moment de la naissance. Bien que la transmission par voie sexuelle soit controversée, elle n’a jamais été exclue. Les co-infections VHC / VIH sont un problème croissant dans les pays où l’épidémie d’infection par le VIH est concentrée et chez les consommateurs de drogues injectables.

Le traitement

Le traitement se base sur l’administration d’interféron-alpha pégylé et de ribavirine

De nouvelles approches thérapeutiques ciblant spécifiquement le virus ont été développées au cours des dernières années, grâce à une meilleure connaissance de la structure et de la fonction des protéines virales. Grâce à la mise au point de ces antiviraux à action directe (AAD), qui sont efficace contre différents génotypes de VHC, la thérapie antivirale est maintenant recommandée à toute personne souffrant d’infection chronique au VHC âgée de plus de 12 ans. La durée du traitement est entre 12 et 24 semaines, et plus de 95% des personnes traitées peuvent être guéries de l’infection chronique au VHC. Le prix des AAD a fortement diminué dans de nombreux pays à faible et moyens revenus, cependant l’accès au traitement reste inadéquat dans un certain nombre de ces pays.

Vaccin

Il n’existe aucun vaccin à l’heure actuelle contre l’hépatite C. Ainsi, le moyen le plus efficace de lutter contre l’hépatite C réside en la maîtrise du risque de transmission nosocomiale du VHC (transfusions sanguines, injections à risque, etc), la politique de réduction des risques chez les usagers de drogues injectables et l’augmentation de l’accès aux AADs chez les populations à haut risque. Le dépistage des personnes à risque, notamment des personnes ayant reçu des produits sanguins avant 1992, constitue également un élément important de la lutte contre cette infection.

Informations complémentaires

Poids 50 g

Avis

Il n’y a pas encore d’avis.

Soyez le premier à laisser votre avis sur “Tisane 811: Traitement Naturel Hépatite Virale ( A, B, C et D)”

Vous aimerez peut-être aussi…