Aménorrhée: Mode De Vie et Comment en Guérir
par Josiane Jesutin Gandonou · 28 avril 2025

Comment guérir l’aménorrhée a l’aide des plantes naturellement sans effets néfaste seulement dans un bref délais.
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Table des matières
ToggleQu’est ce que l’aménorrhée
L’aménorrhée est l’absence de menstruations (règles) chez une femme en âge de procréer. Elle peut être :
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Primaire : quand une jeune fille n’a jamais eu ses règles à l’âge de 15-16 ans.
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Secondaire : quand une femme qui avait auparavant des cycles menstruels réguliers ne les a plus pendant au moins 3 à 6 mois.
Causes : Comment guérir aménorrhée
Aménorrhée primaire :
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Anomalies génétiques (ex : syndrome de Turner)
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Malformations congénitales (ex : absence d’utérus)
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Troubles hormonaux (ex : anomalies de l’axe hypothalamo-hypophyso-ovarien)
Aménorrhée secondaire :
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Grossesse (cause la plus fréquente)
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Stress intense ou perte de poids importante
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Troubles alimentaires (ex : anorexie, boulimie)
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Activité physique excessive
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Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)
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Troubles de la thyroïde (hypo ou hyperthyroïdie)
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Ménopause précoce
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Médicaments ou contraceptifs
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Tumeurs (ex : prolactinome)
Symptômes associés :
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Absence de règles
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Bouffées de chaleur (si cause hormonale)
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Sécheresse vaginale
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Acné ou pilosité excessive (dans le cas du SOPK)
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Maux de tête ou troubles visuels (si tumeur)
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Douleurs pelviennes (parfois)
Conséquences de l’aménorrhée : comment guérir aménorrhée
- Infertilité : absence d’ovulation rend difficile ou impossible la grossesse.
- Ostéoporose : baisse des œstrogènes entraîne une perte de densité osseuse.
- Problèmes cardiovasculaires : en cas de déficit hormonal prolongé.
- Détresse psychologique : anxiété liée à l’infertilité ou à une cause sous-jacente.
- Développement incomplet des caractères sexuels secondaires (aménorrhée primaire).
Diagnostiques :
En effet le diagnostic repose sur :
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Entretien médical : antécédents médicaux, rythme de vie, alimentation, stress, etc.
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Examen physique : évaluation des caractères sexuels secondaires.
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Tests sanguins :
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Hormones (FSH, LH, œstrogènes, prolactine, TSH…)
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β-hCG pour exclure une grossesse
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Imagerie :
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Échographie pelvienne (évaluer utérus et ovaires)
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IRM cérébrale si suspicion de tumeur hypophysaire
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Test progestatif : pour évaluer la production d’œstrogènes.
Solutions / Traitements : comment guérir l’aménorrhée
Ce pendant le traitement dépend de la cause identifiée :
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Grossesse : suivi obstétrical
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Troubles alimentaires ou stress : prise en charge psychologique, nutritionnelle
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SOPK : régulation hormonale, mode de vie, pilule contraceptive
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Hypothyroïdie : traitement hormonal substitutif
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Tumeurs : traitement médical ou chirurgical
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Remplacement hormonal : en cas de déficit en œstrogènes (ex : ménopause précoce)
Prévention de l’aménorrhée fonctionnelle (liée au mode de vie)
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Maintenir un poids corporel sain :
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Éviter les régimes extrêmes et les troubles alimentaires.
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Surveiller l’IMC, surtout chez les adolescentes sportives.
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Alimentation équilibrée :
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Apport suffisant en graisses, protéines et micronutriments (fer, calcium, vitamines D et B).
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Éviter les carences qui perturbent l’ovulation.
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Gérer le stress :
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Pratiques de relaxation (yoga, méditation).
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Psychothérapie si besoin (notamment en cas d’anxiété ou de troubles alimentaires).
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Activité physique modérée :
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Éviter les entraînements excessifs (en particulier chez les sportives de haut niveau).
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Adapter la charge d’entraînement à la capacité de récupération du corps
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Prévention de l’aménorrhée pathologique: comment guerir l’amenorrhee
Voici les principales mesures de prévention de l’aménorrhée, selon qu’elle soit d’origine fonctionnelle, hormonale ou liée au mode de vie :
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Suivi médical régulier :
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Contrôle des cycles menstruels.
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Dépistage précoce des déséquilibres hormonaux (thyroïde, prolactine, SOPK).
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Éducation à la santé reproductive :
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Informer les jeunes filles sur les cycles menstruels normaux.
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Sensibilisation aux signes d’alerte (retard de règles > 3 mois).
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Vaccination et prévention des infections pelviennes :
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Car certaines infections (ex : tuberculose génitale) peuvent entraîner une aménorrhée.
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Une hygiène de vie équilibrée + un suivi médical régulier sont les piliers de la prévention.
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Il est important de ne pas banaliser un arrêt de règles prolongé.
Souhaitez-vous avoir plus de savoir?
Certaines plantes médicinales peuvent être utilisées pour favoriser le retour des règles ou traiter les causes sous-jacentes de l’aménorrhée, mais il est important de souligner que ces solutions doivent être utilisées avec prudence et sous la supervision d’un professionnel de la santé. L’aménorrhée peut avoir de nombreuses causes, et il est essentiel de traiter la cause sous-jacente plutôt que de se concentrer uniquement sur les symptômes.
Voici quelques plantes qui sont traditionnellement utilisées pour réguler le cycle menstruel :
Plantes pour traiter l’aménorrhée :
Le fenouil (Foeniculum vulgare) :
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Utilisé pour favoriser l’équilibre hormonal, il est particulièrement utile pour réguler les cycles menstruels.
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Il stimule la production d’œstrogènes et peut être efficace en cas d’aménorrhée liée à un déséquilibre hormonal.L’angélique (Angelica sinensis) :
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Connue sous le nom de « racine de dame », cette plante est très utilisée en médecine traditionnelle chinoise pour réguler les règles, particulièrement en cas de troubles hormonaux et de douleurs menstruelles.
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Elle est souvent recommandée en cas de règles irrégulières ou absentes dues à un déséquilibre dans l’axe hormonal.
- La sauge (Salvia officinalis) :
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Contient des phytoestrogènes, des composés naturels semblables aux œstrogènes humains.
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La sauge peut aider à rétablir les règles dans les cas d’aménorrhée légère ou de ménopause précoce en rééquilibrant les hormones.
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Le gattilier (Vitex agnus-castus) :
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Très utilisé pour traiter l’aménorrhée, notamment en cas de dysfonctionnement de la production de progestérone.
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Il est efficace pour les troubles hormonaux comme le syndrome prémenstruel (SPM) et la régulation du cycle.
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Le trèfle rouge (Trifolium pratense) :
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Riche en isoflavones (phytoestrogènes), il est souvent utilisé pour réguler les cycles menstruels et traiter les symptômes associés à des fluctuations hormonales.
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Il peut être bénéfique pour les femmes ayant une aménorrhée due à une carence en œstrogènes.
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La racine de pivoine (Paeonia lactiflora) :
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Traditionnellement utilisée en médecine chinoise pour traiter les irrégularités menstruelles et aider à la régulation du cycle.
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Elle peut également aider à améliorer la circulation sanguine dans la région pelvienne.
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L’achillée millefeuille (Achillea millefolium) :
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Très efficace pour réguler les menstruations et soulager les douleurs associées.
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Elle a des propriétés antispasmodiques et peut être utile pour les femmes souffrant de douleurs pelviennes liées à l’aménorrhée.
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Précautions :
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Avant d’utiliser des plantes médicinales, il est important de consulter un médecin, surtout si vous avez des conditions médicales sous-jacentes ou prenez des médicaments.
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Certaines plantes, comme l’angélique ou le gattilier, peuvent interagir avec des médicaments, notamment les contraceptifs hormonaux ou les traitements hormonaux.
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La durée et la posologie des traitements à base de plantes doivent être respectées pour éviter toute complication.