798- comment soigner une attaque cérébrale: le cas de AVC

comment soigner une attaque cérébrale

comment soigner une attaque cérébrale. Découvrez ce que c’est qu’un AVC, ses symptômes et les méthodes de guérison

Définition

Un accident vasculaire cérébral, AVC, est une interruption soudaine de l’apport sanguin au cerveau. L’AVC a des conséquences graves : il est l’une des principales causes de mortalité en France et la cause la plus fréquente d’invalidité dans le monde occidental.

Mieux connu sous le nom commun d’« attaque cérébrale », l’accident vasculaire cérébral (AVC) est une perte brutale de la fonction cérébrale due à un infarctus cérébral ou à une hémmoragie. Il entraîne des dommages irréversibles au niveaux des tissus cérébraux.

Nous pouvons classer les AVC en deux catégories: AVC ischémique et AVC hémorragique

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AVC ischémique

AVC ischémique est causé par Infarctus cérébral : caillot de sang bouchant une artère et interrompant la circulation du sang dans le cerveau. En effet, Le caillot peut être véhiculé par la circulation sanguine. Il est alors question d’embolie cérébrale, et parfois l’artère se bouche seule.

AVC hémorragique

AVC hémorragique est causé par Hémorragie dans le cerveau. L’hémorragie est due à la rupture d’une artère ou d’un anévrysme. Il peut également survenir du fait de la malformation d’un vaisseau ou par suite d’un traitement anticoagulant.

NB:

Les séquelles d’un AVC vont dépendre de l’endroit du cerveau touché et de l’étendue des dommages. Un AVC peut affecter une ou plusieurs fonctions cérébrales, notamment la capacité de

  • se déplacer,
  • voir,
  • se souvenir,
  • raisonner.

 Les symptômes d’un AVC

Dès lors que le sang ne parvient plus à irriguer une zone du cerveau, la partie du corps qu’elle commande ne reçoit plus d’ordres. De ce fait, il existe de nombreux signes possibles pouvant alerter de la survenue d’un AVC. Toutefois six indicateurs caractéristiques de l’AVC doivent éveiller l’attention, en particulier lorsqu’ils apparaissent de manière soudaine :

  1. hémiplégie totale ou partielle. Elle est généralement unilatérale : un bras, une jambe ou une moitié du visage sont sans force, inertes ;
  2. perte de la sensibilité d’un bras, d’une jambe, de la face ou de tout le côté d’un corps ;
  3. signes d’aphasie : la personne a des difficultés à s’exprimer de manière claire ;
  4. difficultés à se mouvoir, vertige, perte soudaine de l’équilibre et de la coordination, chute ;
  5. perte soudaine de la vision d’un œil ou des deux. Elle peut avoir l’impression de voir tout « noir » ;
  6. migraines intenses, sans raison apparente.

D’autres signes peuvent être également visibles :

  1. désorientation et confusion soudaines : la personne ne sait pas quel jour on est ;
  2. déclin de la conscience ;
  3. déglutition difficile ;
  4. pupilles inégales ou regard dévié.

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Les causes des AVC

Causes de l’AVC ischémique

Les AVC ischémiques surviennent lorsque l’approvisionnement en sang est interrompu dans une partie du cerveau par un caillot sanguin ou un rétrécissement des artères.

Les caillots sanguins peuvent être causés par :

  • un rythme cardiaque irrégulier (arythmie),
  • des problèmes de valve cardiaque,
  • une infection du muscle cardiaque (myocarde),
  • une athérosclérose : épaississement de la paroi des artères,
  • des troubles de la coagulation sanguine,
  • une inflammation des vaisseaux sanguins
  • une crise cardiaque.

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Causes de l’AVC hémorragique

Les AVC hémorragiques sont causés par un vaisseau sanguin se rompant ou fuyant, qui saigne alors dans le cerveau. Le sang s’accumule et comprime le tissu cérébral environnant, ce qui l’endommage.

Les hémorragies cérébrales peuvent résulter de nombreux problèmes affectant les vaisseaux sanguins :

  • hypertension artérielle non contrôlée ;
  • traitement anticoagulant ;
  • anévrisme : renflement d’une artère au niveau d’un point faible de la paroi du vaisseau sanguin ;
  • traumatisme (comme un accident de voiture) ;
  • dépôts de protéines contre les parois des vaisseaux sanguins les affaiblissant (angiopathie amyloïde cérébrale) ;
  • AVC ischémique entraînant finalement une hémorragie ;
  • rupture d’un vaisseau malformé (malformation artério-veineuse ou MAV).

Traitement d’un AVC

Il existe plusieurs médicament permettant un soulagement voir guérison dans la médecine moderne. Néanmoins, le traitement traditionnel reste la méthode la plus efficace pour un traitement définitif d’un AVC.

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