Il n’existe actuellement aucun traitement spécifique pour le syndrome des ovaires polykystiques. Les traitements mis en place sont donc symptomatiques, en fonction des signes les plus gênants pour la patiente.
Les traitements mis en place sont destinés à traiter :
- L’acné et l’excès de pilosité ;
- La chute des cheveux ;
- La régularité des cycles menstruels, par un traitement hormonal ;
- La correction et le contrôle du poids corporel ;
- L’induction d’une ovulation ;
- La correction des troubles métaboliques pour réduire le risque de complications.
Parallèlement, la prise en charge implique une bonne hygiène de vie, une alimentation équilibrée et la pratique d’une activité physique régulière. Un suivi diététique et nutritionnel peut être conseillé, de même qu’un suivi psychologique pour les femmes dont l’impact sur la qualité de vie est majeur.
Traitement 100 % naturel du syndrome des ovaires polykystiques
En plus de favoriser un bon état de santé général, l’alimentation joue un rôle essentiel dans l’amélioration des symptômes causés par le syndrome des ovaires polykystiques. Améliorer son alimentation figure parmi les traitements naturels recommandés pour concrétiser son projet d’enfant.
La vitamine DEn plus de l’apport en vitamine D de l’alimentation, une supplémentation en vitamine D peut représenter un moyen naturel d’améliorer la fertilité des femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques. Les médecins ont constaté des réductions significatives des taux de testostérone totale, de l’indice d’androgène libre et de l’hirsutisme. De plus, une perte de poids associée à une supplémentation en vitamine D montre une amélioration de la régularité menstruelle chez les femmes obèses et en surpoids présentant un SOPK.
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La vitamine E et CoQ10L’association d’une supplémentation en antioxydants naturels que sont le coenzyme Q10 (Co10) ou la vitamine E permet d’améliorer le profil de cholestérol, la tension artérielle et la glycémie à jeun, de réduire le taux de testostérone total et d’augmenter la globuline liant les hormones sexuelles (SHBG, pour Sex Hormone-Binding Globulin) chez les femmes souffrant d’un SOPK. La vitamine E associée à du magnésium permet aussi chez ces femmes de diminuer l’hirsutisme.
L’inositolL’inositol s’est imposé comme le traitement naturel de référence du SOPK. L’inositol représente une famille de plusieurs molécules naturelles que notre corps fabrique, mais en quantité insuffisante. L’inositol est dans les végétaux et plus particulièrement dans les céréales et les légumineuses. Une modification des habitudes alimentaires dans les pays occidentaux entraîne depuis quelques années une diminution importante de l’apport quotidien en inositols nécessitant une prise de compléments alimentaires pour garantir un apport quotidien en inositol chez les femmes atteintes d’un SOPK.