Les Plantes Contre l’Aménorrhée : Quelques recettes

Plantes pour Agrandir le Pénis Naturellement
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Les Plantes Contre l’Aménorrhée. Voici des astuces simples qui permettent d’arrêter l’Aménorrhée naturellement

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Définition

L’aménorrhée est l’absence de menstruation (règles) en dehors de l’état de grossesse, chez une femme en période d’activité génitale.

On distingue :

  • L’aménorrhée primaire qui correspond à l’absence d’apparition des règles chez une jeune fille qui a dépassé la puberté. Elle est quelquefois due à une anomalie de l’appareil génital, ou à une cause hormonale (dérèglement de l’hypophyse, ou des ovaires moins fréquemment). On constate alors, la persistance des caractères morphologiques de type infantile (eunuchisme féminin), ou de pseudo-hermaphrodisme.
  • L’eunuchisme se définit dans les deux sexes comme l’état d’un individu qui est privé depuis l’enfance, de la fabrication (sécrétion) interne des hormones sécrétées par les glandes génitales (ovaires et testicules). Ce phénomène est dû soit à l’ablation des glandes (pour raison culturelle), soit à une maladie (oreillons par exemple).
  • L’aménorrhée secondaire correspond à une aménorrhée dépassant trois mois, et apparaissant chez une patiente qui avait normalement ses règles jusque-là. L’aménorrhée secondaire, est quelquefois due à :
    • Une pathologie générale, telle qu’une infection (tuberculose).
    • Une maladie sanguine (anémie).
    • Un dérèglement hormonal :
      • Maladie d’Addison.
      • Diabète.
      • Myxoedème.
      • Maladie de Basedow.
      • Maladie de Cushing.
      • Acromégalie.

Causes

Les causes d’aménorrhée (liste non exhaustive) sont :

  • Le syndrome de Chiari-Frommel survenant après un accouchement. On constate l’apparition :
    • D’une galactorrhée (écoulement de lait) durant une longue période.
    • D’une aménorrhée.
    • D’une atrophie (diminution de volume) de l’utérus et des ovaires, ne permettant pas une sécrétion oestrogénique normale. Ce syndrome est proche de celui du syndrome d’Argonz del Castillo.

Autres Causes

  • L’hypopituitarisme de Bickel qui est l’insuffisance de sécrétion de la glande hypophyse. Au cours de cette affection endocrinienne, on constate la survenue de troubles rattachés au fonctionnement insuffisant du lobe situé à l’avant de la glande hypophyse. Les patients présentent :
    • Des troubles génitaux à type d’impuissance, ou d’aménorrhée associés à une atrophie de l’appareil génital, et des glandes mammaires avec une diminution de l’épaisseur de la peau.
    • Une atteinte des viscères avec chute des poils.
    • Un dérèglement de fonctionnement de l’organisme (métabolisme).
    • Une anorexie.
    • Une chute de la tension artérielle.
    • Une chute du taux de sucre dans le sang.
    • Une fatigue importante s’associant à un désir de ne rien faire (adynamie).
    • Des perturbations psychiques.

Les Symptomes

  • Cet ensemble de symptômes, est le résultat d’une atteinte de l’hypophyse, et plus précisément d’une lésion du lobe antérieur de cette glande. Généralement, le mécanisme est une destruction de ces tissus (nécrose) survenant après un accouchement. Parfois, il s’agit du résultat d’une compression par une tumeur, résidant à l’intérieur de la selle turcique (région anatomique constituée de tissu osseux où se situe la glande hypophyse). Il semble que ce syndrome soit proche du syndrome de Sheehan, et de la maladie de Simmonds.
  • La dysplasie olfacto-génitale est la diminution du développement des glandes génitales associant un infantilisme (adulte ayant l’aspect d’un enfant, tant au niveau physique que psychique), et une aménorrhée accompagnée d’une anosmie (perte partielle ou totale de l’odorat). Ceci s’explique par une lésion de l’hypothalamus et des centres nerveux, destinés à recevoir l’influx nerveux traduisant la sensation des odeurs. Ce syndrome s’accompagne généralement d’un retard mental, de troubles visuels, et d’une difficulté à effectuer les mouvements. De cause inconnue, la dysplasie olfacto-génitale semble être liée à une transmission probablement dominante (il suffit qu’un seul des deux parents soit atteint pour que la maladie soit transmise à la descendance) à travers un chromosome X (gonosome).
  • La sécrétion insuffisante d’oestrogènes appelée hypofolliculinisme, à la puberté, se caractérise essentiellement par une aménorrhée primaire, et généralement un infantilisme. Il existe d’autre part, une atrophie des organes génitaux, des malaises, des bouffées de chaleur, généralement une obésité, et une coloration violette des extrémités traduisant une cyanose (déficit d’arrivée de l’oxygène dans les tissus à ce niveau).
  • L’anorexie mentale ou psychogène est la diminution, ou l’abolition de la prise alimentaire par refus de la nourriture, ou perte de l’appétit. Ce syndrome s’observe essentiellement chez les individus (surtout les femmes), présentant des troubles psychopathiques appelés par les spécialistes oligophagie psychonévrotique de J. Decourt. Cette pathologie survient fréquemment chez les jeunes filles de 15 à 20 ans, et entraîne une aménorrhée associant un amaigrissement très important susceptible d’évoluer vers la cachexie (dénutrition sévère avec altération profonde de l’organisme et des fonctions de celui-ci). Ses rapports avec la maladie de Simmonds ont été discutés.
  • Pour déclencher des menstruations qui se sont faites rares, voire inexistantes, les plantes sont souvent les championnes. D’un point de vue phytothérapeutique, voici celles qu’il faut favoriser lorsque l’aménorrhée pointe le bout de son nez !

Quelques astuces contre l’aménorrhée

    • Angélique : cette plante est chargée en œstrogènes végétales, dits phyto-œstrogènes. Elle permet, chez la femme, de stimuler le cycle menstruel.
    • Curcuma : de même que l’angélique, cette plante va booster l’activité menstruelle, mais aussi calmer les douleurs liées aux menstruations.
    • Gattilier : que ce soit pour des symptômes liés à la ménopause, des règles irrégulières, ou une complète aménorrhée, cette plante est très efficace ! À utiliser lors d’une cure de plusieurs semaines.
    • Sauge : pour stimuler la production d’œstrogène, l’une des meilleures plantes reste la sauge.
    • Yam : mais en ce qui concerne la production de progestérone, c’est le Yam qu’il faut préférer.
    • Passiflore : pour traiter une aménorrhée due au stress ou au surmenage, rien de tel qu’une plante aux propriétés calmantes. D’autres plantes comme l’aubépine ou la valériane contribuent à un effet relaxant, ce qui peut conduire au retour des règles.
    • Ortie : quelques feuilles en infusion, et le retour des règles est presque assuré !

NB: Interdit d’utiliser ces astuces sans prendre avis de votre médecin 

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